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Depuis la révolution islamique de 1979, l'Iran a connu une croissance considérable de son industrie pétrolière et gazière, ce qui a entraîné une augmentation de la combustion des combustibles fossiles et donc des émissions de CO2. Cette recherche a caractérisé les variables émissions de CO2 et véhicules en circulation, et a appliqué un test de normalité en utilisant l'analyse de Shapiro Wilk, un test de corrélation de Pearson qui a abouti à une corrélation de r= 0,9712, ce qui signifie qu'il y a une forte corrélation entre les deux variables. La valeur de r étant positive, elle indique une relation positive entre les variables, la croissance d'une variable étant associée à la croissance de l'autre variable. Une projection future a été réalisée à l'aide du modèle des moindres carrés, année par année, de 2024 à 2030, aboutissant à des émissions de CO2 de 763,1 Mt en 2024 et à des émissions croissantes de 847,2 Mt d'ici 2030, ce qui met en péril les objectifs environnementaux mondiaux de réduction des émissions de CO2 et de maintien de la température globale de la planète en dessous de 1,5 ºC.