L'université est une période où l'on devient plus adulte et plus indépendant, et les parents doivent respecter cela et donner à leurs enfants l'espace dont ils ont besoin pour grandir. Les changements dans leur environnement, loin de leur famille, et les nouveaux camarades et influences stressent ces étudiants, et lorsqu'ils ne parviennent pas à s'adapter, ils tombent inévitablement dans l'abîme de la dépression. La compétitivité accrue dans les universités et les exigences académiques plus élevées des parents s'ajoutent à ces facteurs qui poussent les étudiants à la dépression. Cette étude visait à évaluer le degré de dépression chez les étudiants universitaires autochtones et non autochtones. 50 étudiants (27 autochtones et 23 non autochtones) de l'université Salmas Payame Noor ont été étudiés. Le questionnaire Beck Depression Inventory a été utilisé pour collecter et analyser les données. L'analyse des données a été effectuée à l'aide du logiciel Statistical Package for Social Sciences (SPSS). Le test T a été utilisé pour analyser les données collectées. Les résultats de cette étude ont montré qu'il existe une différence significative entre le degré de dépression des étudiants natifs et non natifs. En d'autres termes, les étudiants non natifs sont plus déprimés que les étudiants natifs.
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