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Ce travail tente de montrer que les Camerounais ont une étrange façon de faire preuve d'endurance et de résilience dans leurs activités quotidiennes. Ils le font sous forme d'indifférence, de tolérance, de grognements ou de plaintes, etc. Ils n'agissent pas de manière décisive, véhémente, collective et rationnelle. Ils ne mettent pas rapidement en place des groupes collectifs, unifiés et organisés pour contrer les phénomènes flagrants, atroces, inhumains et dégradants de leur société. Cette situation est perceptible dans les domaines suivants et d'autres encore : la vie familiale, le genre, la…mehr

Produktbeschreibung
Ce travail tente de montrer que les Camerounais ont une étrange façon de faire preuve d'endurance et de résilience dans leurs activités quotidiennes. Ils le font sous forme d'indifférence, de tolérance, de grognements ou de plaintes, etc. Ils n'agissent pas de manière décisive, véhémente, collective et rationnelle. Ils ne mettent pas rapidement en place des groupes collectifs, unifiés et organisés pour contrer les phénomènes flagrants, atroces, inhumains et dégradants de leur société. Cette situation est perceptible dans les domaines suivants et d'autres encore : la vie familiale, le genre, la jeunesse, les personnes handicapées, la fonction publique, le secteur privé, les compagnies de téléphone, l'électricité, l'eau, la démocratie, la santé, le transport, l'éducation, les classes sociales, le monde de la dette, les institutions armées (armée, police, gendarmerie, unités pénitentiaires, etc.) ainsi que le problème et la crise anglophones. Il est urgent de revoir lesdites bizarreries. Enfin, le gouvernement devrait prendre des mesures judicieuses pour prévenir, autant que possible, les situations d'endurance et de résilience, mesures qui apportent substantiellement des réponses appropriées aux problèmes cruciaux.
Autorenporträt
Kijem Joseph est titulaire d'une licence en sociologie/anthropologie, d'un diplôme d'études supérieures en traduction, d'une maîtrise en droit des droits de l'homme/action humanitaire et d'un doctorat en sciences politiques. Il est traducteur principal au Bureau de recensement de la population du Cameroun et auteur de nombreux articles et ouvrages.