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Les enfants du monde entier sont exposés à la violence, aux abus et à la négligence. La violence contre les enfants (VCE) se manifeste dans presque tous les environnements, y compris à la maison, à l'école et dans la communauté. La négligence, en général, est la forme de maltraitance la plus courante et souvent la plus silencieuse. En particulier, la négligence en matière de surveillance, comme toutes les autres formes de maltraitance, constitue un problème de santé publique complexe. En effet, en raison d'une surveillance insuffisante de la part des adultes, les enfants négligés courent un…mehr

Produktbeschreibung
Les enfants du monde entier sont exposés à la violence, aux abus et à la négligence. La violence contre les enfants (VCE) se manifeste dans presque tous les environnements, y compris à la maison, à l'école et dans la communauté. La négligence, en général, est la forme de maltraitance la plus courante et souvent la plus silencieuse. En particulier, la négligence en matière de surveillance, comme toutes les autres formes de maltraitance, constitue un problème de santé publique complexe. En effet, en raison d'une surveillance insuffisante de la part des adultes, les enfants négligés courent un risque accru de décès par noyade, suffocation, empoisonnement, brûlure, chute, etc. Malgré les efforts déployés par le gouvernement béninois, de nombreuses formes de violence, y compris la négligence de surveillance envers les enfants, semblent profondément ancrées dans la société béninoise. Étant donné que cette négligence affecte principalement les jeunes enfants, il est essentiel de mieux comprendre les facteurs de risque associés à ce phénomène dans cette tranche d'âge.
Autorenporträt
Renaud Jaïrus DOSSA, de nacionalidad beninesa, nació el 01 de febrero de 1999 en Abomey, en el departamento de Zou. Se graduó en el Complexe Scolaire Sainte Josephine BAKHITA en 2016. Apasionado por las humanidades, continuó sus estudios en el Centre de formation et de recherche en matière de population (CEFORP) de la Universidad de Abomey Calavi.