Ce mémoire interroge la viabilité du droit au développement - ius ad progressum - à l'aune d'une souveraineté étatique en crise, particulièrement dans les États africains, à l'instar de la République Démocratique du Congo. Si le droit international consacre formellement ce droit dans la Déclaration de 1986 et à travers plusieurs instruments onusiens, sa concrétisation demeure largement compromis dès lors que la souveraineté - condition de toute autodétermination normative - est réduite à une fiction juridique (potestas inania). En analysant le cas de la RDC, pays riche de ses ressources mais structurellement maintenu dans une dépendance postcoloniale, le mémoire met en lumière le rôle délétère des créances illégitimes, des programmes d'ajustement imposés ex cathedra, et des rapports de force dissimulés sous l'apparente neutralité des institutions internationales.				
				
				
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