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Attirer les investisseurs afin qu'ils investissent leur capital en utilisant des incitations fiscales fait partie des stratégies prioritaires de nombreux gouvernements à travers le monde, dont celui de la Tanzanie. Cet ouvrage utilise des outils scientifiques économétriques (OLS et ECM) pour étudier l'effet des incitations fiscales sur la promotion des investissements en Tanzanie. Les résultats empiriques montrent que les incitations fiscales ont un effet négligeable sur la promotion des investissements en Tanzanie. En outre, il a été découvert que les investissements antérieurs, les taux…mehr

Produktbeschreibung
Attirer les investisseurs afin qu'ils investissent leur capital en utilisant des incitations fiscales fait partie des stratégies prioritaires de nombreux gouvernements à travers le monde, dont celui de la Tanzanie. Cet ouvrage utilise des outils scientifiques économétriques (OLS et ECM) pour étudier l'effet des incitations fiscales sur la promotion des investissements en Tanzanie. Les résultats empiriques montrent que les incitations fiscales ont un effet négligeable sur la promotion des investissements en Tanzanie. En outre, il a été découvert que les investissements antérieurs, les taux d'intérêt actuels et l'inflation des deux dernières années ont une incidence très significative sur la promotion des investissements à court terme. L'ouvrage propose un certain nombre de recommandations, notamment que le gouvernement devrait se pencher sur la révision de toutes les incitations fiscales dans le but de les supprimer ou de les réduire et se concentrer sur la résolution du problème actuel du climat d'investissement défavorable, ainsi que sur la mise en place d'une politique appropriée visant à améliorer les performances en matière d'investissement et à stabiliser les taux d'intérêt et d'inflation afin de garantir une promotion efficace des investissements.
Autorenporträt
Amani Shayo [M.A] a obtenu une licence et une maîtrise en économie en 2013 et 2015 respectivement à l'université St. Augustine de Tanzanie. Il a rejoint l'université St. Augustine de Tanzanie en tant que maître assistant en 2015. Il occupe actuellement le poste de chef du département d'économie au Stella Maris Mtwara University College (un collège constitutif de la SAUT).