42,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
21 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

La Constitution fédérale de 1848 a placé la conduite de la politique étrangère entre les mains du Conseil fédéral. Les relations extérieures n'étaient plus, comme auparavant, du ressort des cantons suisses, mais du Conseil fédéral, nouvellement créé et composé de sept membres. Le président de la Confédération, élu pour un an, était au centre du dispositif et était également responsable de la politique étrangère. Conformément au Congrès de Vienne de 1815, celle-ci reposait sur les deux piliers que sont l'indépendance et la neutralité. Dès sa première séance, le 24 novembre 1848, le Conseil…mehr

Produktbeschreibung
La Constitution fédérale de 1848 a placé la conduite de la politique étrangère entre les mains du Conseil fédéral. Les relations extérieures n'étaient plus, comme auparavant, du ressort des cantons suisses, mais du Conseil fédéral, nouvellement créé et composé de sept membres. Le président de la Confédération, élu pour un an, était au centre du dispositif et était également responsable de la politique étrangère. Conformément au Congrès de Vienne de 1815, celle-ci reposait sur les deux piliers que sont l'indépendance et la neutralité. Dès sa première séance, le 24 novembre 1848, le Conseil fédéral a dû s'occuper des relations extérieures. Le jeune Etat fédéral était régulièrement menacé par différents Etats, seule la Grande-Bretagne se révélait être une amie fiable, contrairement à la France qui, sous l'empereur "thuriféraire" Napoléon III, snobait la Suisse à plusieurs reprises. L'étude centrée sur les acteurs a tenté de présenter les actions des différents acteurs à l'aide de différents événements, comme le commerce savoyard en 1859/60. Il en ressort un changement dans les relations extérieures, la Suisse s'engageant avec succès dans le domaine humanitaire au niveau international en tant que troisième pilier.
Autorenporträt
Ernst Heinrich Bütikofer, né en 1952, MA phil. hist., a terminé ses études de droit à Berne en 1980. Il a travaillé dans l'économie et l'administration, en dernier lieu comme directeur adjoint de la Société suisse des entrepreneurs pendant de nombreuses années. Après sa retraite, il a obtenu un master en histoire et en sciences politiques.