Les Cent Jours - de Chaboulon, Fleury
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Dans "Les Cent Jours", Fleury de Chaboulon offre un récit détaillé des événements entourant le retour de Napoléon Bonaparte au pouvoir en 1815, après son exil sur l'île d'Elbe. Le texte met en lumière les complexités politiques et les intrigues diplomatiques qui ont marqué cette période tumultueuse de l'histoire française. L'auteur décrit comment Napoléon, confronté à la défiance de certains de ses anciens ministres, tel le duc d'Otrante, alias Joseph Fouché, tente de naviguer à travers un réseau de trahisons potentielles et de manuvres politiques. Fouché, bien que publiquement loyal, est…mehr

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Produktbeschreibung
Dans "Les Cent Jours", Fleury de Chaboulon offre un récit détaillé des événements entourant le retour de Napoléon Bonaparte au pouvoir en 1815, après son exil sur l'île d'Elbe. Le texte met en lumière les complexités politiques et les intrigues diplomatiques qui ont marqué cette période tumultueuse de l'histoire française. L'auteur décrit comment Napoléon, confronté à la défiance de certains de ses anciens ministres, tel le duc d'Otrante, alias Joseph Fouché, tente de naviguer à travers un réseau de trahisons potentielles et de manuvres politiques. Fouché, bien que publiquement loyal, est soupçonné de conspirer avec les puissances étrangères pour renverser Napoléon. L'Empereur, conscient des dangers, envoie Fleury de Chaboulon en mission secrète à Bâle pour rencontrer un agent de Metternich, afin de sonder les intentions des alliés et d'envisager la possibilité d'un rapprochement avec l'Autriche. Le récit met en évidence les tensions entre la loyauté personnelle et les changements politiques, ainsi que les défis auxquels Napoléon est confronté pour maintenir son pouvoir face à une coalition internationale déterminée à le renverser. L'ouvrage illustre également les efforts de Napoléon pour réformer les institutions françaises et promouvoir la liberté publique, tout en cherchant à stabiliser son régime par des actes constitutionnels.
Autorenporträt
Déjà, à 16 ans, il se présente comme chef de bataillon de la Garde nationale et fait feu, le 5 octobre 1795, avec les insurgés parisiens, contre la Convention nationale. Envoyé en captivité, compte tenu de son jeune âge, il fut gracié. Le ministre Fermont le prit alors auprès de lui et lui donna des notions approfondies de gestion financière. Ainsi, il put être engagé comme auditeur au Conseil d'État dans le domaine de la gestion. Il fut plus tard sous-préfet de Château-Salins (Meurthe), où il se distingua par son habileté, mais aussi par sa grande bonté et Napoléon lui confia diverses missions. Nommé ensuite sous-préfet de Reims en 1814, lors de l'invasion, il combattit les Alliés avec vaillance et détermination tout au long de la campagne de France. Pendant la Restauration, il alla en Italie préparer les Cent jours et alla à l'Ile d'Elbe. Napoléon, de retour en France, l'engagea comme secrétaire particulier et il alla en tant que tel, accomplir des missions délicates, notamment à Bâle et auprès de l'empereur d'Autriche. Il participa à la campagne de Belgique et après Waterloo, devant s'expatrier, il se rendit à Londres. Rentré en France vers 1823 il devint directeur d'une des premières compagnie d'assurances, la Royale Incendie puis la Royale Vie. Il ne fut réintégré au Conseil d'État qu'après la révolution de Juillet 1830. Élu député de la Meurthe en 1834, il décéda l'année suivante, le 28 septembre 1835. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (36e division).