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Les examens polygraphiques sont considérés par beaucoup comme une solution miracle, capable de révéler la vérité, même si certains sont plus sceptiques quant à leur utilisation. Selon l'opinion courante, les examens polygraphiques sont faciles à manipuler. Quelle est la vérité concernant la détection instrumentale du mensonge? Comment peut-elle aider le travail des autorités chargées des enquêtes et des tribunaux? Quels sont les dangers? L'auteur ne se contente pas de répondre à ces questions, il illustre également le travail des examinateurs à l'aide de cas criminels réels, passe en revue les…mehr

Produktbeschreibung
Les examens polygraphiques sont considérés par beaucoup comme une solution miracle, capable de révéler la vérité, même si certains sont plus sceptiques quant à leur utilisation. Selon l'opinion courante, les examens polygraphiques sont faciles à manipuler. Quelle est la vérité concernant la détection instrumentale du mensonge? Comment peut-elle aider le travail des autorités chargées des enquêtes et des tribunaux? Quels sont les dangers? L'auteur ne se contente pas de répondre à ces questions, il illustre également le travail des examinateurs à l'aide de cas criminels réels, passe en revue les pratiques en vigueur dans différents pays et donne un aperçu des résultats des développements techniques. L'auteur examine les critiques concernant la détection instrumentale du mensonge, met en lumière les points faibles et formule ses recommandations en matière de tactique criminelle. Il énumère les possibilités offertes par les examens polygraphiques et illustre leur rôle dans le succès des enquêtes dans des cas réels.
Autorenporträt
Árpád Budaházi est diplômé de la faculté de droit et de sciences politiques de l'université catholique Pázmány Péter de Budapest, où il a obtenu son diplôme en 2005. Il a obtenu son doctorat en sciences politiques et juridiques à l'université de Pécs en 2013. Il est maître de conférences à la faculté d'application de la loi de l'université nationale de la fonction publique. Il mène des recherches sur le polygraphe depuis 2007.