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Les outils actuels permettant de mesurer l'intensité de la transmission du paludisme ont une sensibilité limitée lorsque la transmission est faible. Des systèmes de surveillance robustes sont nécessaires pour surveiller la réduction de la transmission et prévenir la réintroduction rapide du paludisme dans les zones en cours d'élimination. Les outils sérologiques basés sur la réponse immunitaire aux antigènes du parasite et du vecteur sont des outils potentiels pour mesurer la transmission. Cette étude a examiné les preuves sérologiques de l'exposition aux vecteurs et de l'endémicité du…mehr

Produktbeschreibung
Les outils actuels permettant de mesurer l'intensité de la transmission du paludisme ont une sensibilité limitée lorsque la transmission est faible. Des systèmes de surveillance robustes sont nécessaires pour surveiller la réduction de la transmission et prévenir la réintroduction rapide du paludisme dans les zones en cours d'élimination. Les outils sérologiques basés sur la réponse immunitaire aux antigènes du parasite et du vecteur sont des outils potentiels pour mesurer la transmission. Cette étude a examiné les preuves sérologiques de l'exposition aux vecteurs et de l'endémicité du paludisme dans les hautes terres de l'ouest du Kenya, le long d'un gradient d'intensité de transmission. Les taux totaux d'IgG dirigés contre le MSP-119 de P. falciparum et le peptide gSG6-P1 des glandes salivaires d'Anopheles ont été mesurés dans une cohorte stratifiée par âge pendant les saisons de faible et de forte transmission du paludisme. Une analyse de régression a été effectuée pour examiner l'association entre la prévalence des anticorps et la prévalence des parasites. Les données de séroprévalence du MSP-119 spécifiques à l'âge ont été ajustées à un modèle catalytique réversible simple afin d'étudier la relation entre l'exposition au parasite et l'âge.
Autorenporträt
Le Dr Badu est spécialisé dans l'étude de la dynamique de transmission des maladies infectieuses à transmission vectorielle. Il mène des recherches exceptionnelles dans les domaines de la biologie des vecteurs, de l'immunologie et de l'immuno-épidémiologie du paludisme. Il est titulaire d'une licence, d'un master en microbiologie clinique et d'un doctorat en biologie théorique et appliquée, avec une expertise en biologie cellulaire moléculaire des agents pathogènes infectieux.