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L'histoire et l'origine du « Requiem » est entourée de légendes et d'anecdotes. L'épuisement dû à la composition et aux représentations de « La Clemenza di Tito » et de « Die Zauberflöte » et une infection aiguë entrainèrent la faillite et la mort du compositeur aprés une courte maladie. Mozart laissa à Constance de considérables dettes, ce qui conduisit cette dernière à demander l'aide d'amis de Mozart pour finir le fragment. Après deux échecs, Franz Xaver Süßmayr, élève de Mozart, se chargea de la tâche, et acheva le « Requiem » sous sa forme actuelle. Il avait à sa disposition des sources…mehr

Produktbeschreibung
L'histoire et l'origine du « Requiem » est entourée de légendes et d'anecdotes. L'épuisement dû à la composition et aux représentations de « La Clemenza di Tito » et de « Die Zauberflöte » et une infection aiguë entrainèrent la faillite et la mort du compositeur aprés une courte maladie. Mozart laissa à Constance de considérables dettes, ce qui conduisit cette dernière à demander l'aide d'amis de Mozart pour finir le fragment. Après deux échecs, Franz Xaver Süßmayr, élève de Mozart, se chargea de la tâche, et acheva le « Requiem » sous sa forme actuelle. Il avait à sa disposition des sources disparues aujourd'hui, peut-être également des indications orales de Mozart. Cette version est aujourd'hui encore la plus connue, elle est historiquement sans doute la plus proche de Mozart.
Autorenporträt
Als Sohn des Vizekapellmeisters des Salzburger Fürsterzbischofs war Mozart bereits in seiner Jugend beständig von Kirchenmusik umgeben. Auf seinen Reisen lernte Mozart die Kirchenmusik Italiens kennen, in Wien studierte er später Werke Bachs und Händels. Nach seiner Umsiedlung nach Wien stellen sich mit Oper und Klavierkonzert neue Herausforderungen, bezeichnenderweise bleibt die "c-Moll-Messe" KV 427, das größte kirchenmusikalische Werk der ersten Wiener Jahre, unvollendet. Die letzte Lebenszeit zeigt wieder eine Hinwendung zur Kirchenmusik: Mozart bewirbt sich mit Erfolg um die Nachfolge des todkranken Leopold Hoffmann als Kapellmeister am Stephansdom, doch kann er die Stelle nicht antreten, da er noch vor Hoffmann stirbt. Ein Kleinod wie das "Ave verum" KV 618 und das unvollendet gebliebene Requiem KV 626 lassen ahnen, was Mozart als Kirchenkomponist hätte noch leisten können, wäre er in diese verantwortliche Position gelangt.