Synthèse de nanotubes de carbone à l'aide de Co/CaCO3 comme catalyseur - Mululo Madela, Priscila
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Dans le présent travail, les catalyseurs 12 % (m/m) Co/Al2O3 et x % (m/m) Co/CaCO3 (x=2,5 %, 5 % et 12 %) ont été synthétisés par la méthode de combustion et testés dans la synthèse de nanotubes de carbone (NTC) par la méthode de décomposition catalytique en phase vapeur (DCV). Le méthane et l'acétylène ont été utilisés comme sources de carbone et les températures de réaction étaient de 700 °C pour l'acétylène et de 900 °C pour le méthane. Les résultats des analyses par spectroscopie Raman et microscopie électronique à balayage ont révélé que les NTC produits avec le catalyseur de cobalt sur…mehr

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Produktbeschreibung
Dans le présent travail, les catalyseurs 12 % (m/m) Co/Al2O3 et x % (m/m) Co/CaCO3 (x=2,5 %, 5 % et 12 %) ont été synthétisés par la méthode de combustion et testés dans la synthèse de nanotubes de carbone (NTC) par la méthode de décomposition catalytique en phase vapeur (DCV). Le méthane et l'acétylène ont été utilisés comme sources de carbone et les températures de réaction étaient de 700 °C pour l'acétylène et de 900 °C pour le méthane. Les résultats des analyses par spectroscopie Raman et microscopie électronique à balayage ont révélé que les NTC produits avec le catalyseur de cobalt sur alumine étaient de meilleure qualité, mais difficiles à purifier, le support ne pouvant être éliminé par les procédures utilisées. Le CaCO3, quant à lui, a été facilement éliminé par traitement acide. En ce qui concerne le rendement des réactions, le catalyseur au cobalt supporté par du carbonate s'est révélé plus actif, atteignant des rendements bien supérieurs à ceux obtenus avec le catalyseur au cobalt sur alumine. Ces derniers se sont avérés très faibles (inférieurs à 30 %).
Autorenporträt
L'auteure a obtenu son diplôme en chimie à l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ), au Brésil, en 2007. La même année, elle a commencé un master en génie chimique à la COPPE dans le cadre du programme de génie chimique de l'UFRJ, et a obtenu son diplôme deux ans plus tard. En 2009, elle a commencé un doctorat dans le même établissement d'enseignement, où elle a obtenu son titre de docteur.