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Les charges exercées sur l'articulation de la hanche peuvent dépasser plusieurs fois notre poids corporel (PC) et ainsi avoir une influence négative sur l'articulation native de la hanche ainsi que sur la longévité des implants chez les patients ayant subi une arthroplastie totale de la hanche (ATH). L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des lésions musculaires peropératoires sur les forces de contact articulaires in vivo postopératoires. En outre, les changements longitudinaux postopératoires des forces de contact agissant in vivo entre 3 et 50 mois et les changements des muscles…mehr

Produktbeschreibung
Les charges exercées sur l'articulation de la hanche peuvent dépasser plusieurs fois notre poids corporel (PC) et ainsi avoir une influence négative sur l'articulation native de la hanche ainsi que sur la longévité des implants chez les patients ayant subi une arthroplastie totale de la hanche (ATH). L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des lésions musculaires peropératoires sur les forces de contact articulaires in vivo postopératoires. En outre, les changements longitudinaux postopératoires des forces de contact agissant in vivo entre 3 et 50 mois et les changements des muscles agissant sur l'articulation de la hanche ont été rapportés et quantifiés. Nos données confirment globalement notre hypothèse selon laquelle une musculature périarticulaire altérée, en particulier les muscles abducteurs, contribue à une augmentation de ces charges articulaires.
Autorenporträt
Sophie C. Brackertz a rédigé sa thèse de médecine à l'Institut Julius Wolff pour la biomécanique et la régénération musculo-squelettique à Berlin, en Allemagne. Parallèlement à ses études de médecine, elle s'est particulièrement intéressée aux projets faisant le lien entre la chirurgie et les technologies médicales, un domaine de recherche qu'elle a continué à approfondir après son passage au JWI.